La foudre du destin qui frappe encore?

Leiko était assise dans sa cellule, toute seule. Skott venait de partir, escorté par deux scientifiques en vêtements de caoutchouc pour ne pas se faire enflammer. Surement qu'un examen de routine.
Leiko soupira. Toutes ses mesures de sécurité l'amusait mais ils faisaient bien faut dire!
Remarquant le jeune homme de la cellule numéro 7, en oblique avec elle, calme, dans son coin tout comme elle, les yeux bandés d'un foulard noir et portant une veste étroite l'empêchant de bouger les bras. Aucun mutant ne lui tenait compagnie dans sa cellule complètement vide, sans même un lit.

*Il doit être dangereux! Pourquoi tout ça?! Je me demande de quoi il est capable...*

Elle eut beau chercher, Leiko ne devina pas la nature de sa mutation.

Leiko s'approcha de la vitre de sa propre cellule et le regarda un moment. Il était mystérieux, silencieux, ne faisaient pas de crises comme certains et l'intriguait. L'attirait aussi d'une curieuse façon.

Mettant deux doigts par deux troues du mur de verre, - utile aux scientifiques qui veulent leurs parler sans trop s'approcher - elle se décida à lui adresser la parole pour la première fois.

-Salut.

Elle avait ravalé sa salive avant de prononcer son premier mot.
Elle lui adressa un petit sourire pour se montrer cordial.

-Je m'appelle Leiko.

*Pourquoi être aussi isolé?!*

Leiko avait préféré lui parler seul à seul. Elle connaissait assez Skott pour deviner ses comportements. Elle ne voulait pas qu'il se montre désagréable ou cynique.

Michael qui avait été vendu littéralement a gentech se trouvait dans une pièce dont il avait estimé les dimentions en faisant le tour a pied et mesurant les mettres...Ses journées lui paraissait longue et ennuyeuse et il ne voyait jamais le temps passé,il lui arrivait même de ne pas dormir des journées durant ce qui avait causé des cernes a ces yeux mais personne ne pouvait en témoigné et puis lorsqu'il entendit un bruit qui venait d'en face de lui il s'y précipita,il sembla regardé leiko sans pour autant la regardé puisqu'il avait les yeux bandé...Lorsqu'elle se présenta aucun son ne sorti de sa bouche mais celle-ci s’entrouvrit et laissa voir la gêne qu'il éprouvait a prendre la parole et puis soudainement il entendit en écho des mots qu'il répéta au fur et a mesure...sauf que la voix de Michael était plus ou moins morne comparé a celle de leiko.

-Il doit être dangereux...pourquoi tout ca...Je me demande de quoi il est capable...

-Pourquoi être aussi isolé...

et puis l'un des gardes du corridor entendit les mots de Michael et se mit a rire

-Alors petit zombie tu t'es fait une amie ? Tu crois que ca va duré combien de temps toute la vie ou rien qu'une nuit haha !

et puis il entra accompagné d'un autre garde qu'il appela tout deux armé : l'un d'une mattraque et l'autre d'un pistolet électrique et le second dit

-c'est fou ce que ce gamin me fou les chtons !

et l'autre ajouta simplement

-faut pas c'est un gamin appeuré ,il faut juste évité de le regardé dans les yeux mais vue qu'il est en compagnie d'une jolie fille...han le chanceux !!!

celui avec la mattraque retira le bandeau d'une main près a assomé Michael de l'autre

-Voila un peu de lumière pour notre petit zombie !

la lumière lui brulait les yeux évidement lui qui n'avait pas vue celle-ci depuis longtemps...

-Remet lui son bandeau il pleure !

Le regard de Michael se jeta sur le mec a la mattraque

-AHHH!!!!!!Des araignées elles me grimpe dessus et elle veulent me bouffer !!!!
il était surement effrayant de voir quelqu'un s'imaginer des araignées et se rouler en boule sous l'effet de la terreur

bien sure il n'y avait rien d'autre que son imagination pour le terroriser,l'autre garde préféra sortir de la cellule en vitesse et accourir alerter les autres

-Mi..Michael...Pas Zombie

Un examen de routine... Pfff... Eh bien, pourquoi pas. Il faut croire qu'ci a Gentech, les examens de routines sont priorisés. Deux gardiens vinrent me chercher en combinaison. On dirait qu'il y a eu une explosion nucléaire avec leur habits. Pourtant, je ne fait que crâmer, je ne suis pas radio-actif! Jetta un regard à ma coloc de cellule, mes yeux lui dirent «à plus tard ma jolie». Puis je suis partit avec les deux clowns qui m'escortaient jusqu'à la dite salle d'examen. Ce test en fait n'était rien de plus qu'un examen médical. Alors je fît ce que le doc m'ordonnait, puis au bout d'une 20taine de minutes environ, je retournai dans ma cellule, escorté toujours par les deux individus en combinaison. Au loin, j'entendit les voix de Leik qui on aurait pu dire, parlait à quelqu'un.

Il ne se passa que quelques minutes avant de traverser le coin et de voir un homme qui criait sa peur de se faire digéré par des arachnides. Un truc était louche à ce moment, mais je me suis dit qu'il avait pris une substance qu'un de ses collègues lui avait donné pour rire. Je ne me doutais pas que c'était l'oeuvre d'un autre. Plus j'avançai, plus j'admirais la scène. Leiko était avec ce drôle de type à qui jamais il n'avait adressé la parole.

Je n'ai qu'eu le temps de me retourner pour mieux regarder que l'on me pousse dans ma cellule sur mon lit de mousse et de fer afin de me forcer à ne pas regarder. C'était une situation de crise et l'un des deux qui était avec moi alla aider son compagnon d'arme, si j'oses ainsi m'affirmer.

-Tu peux me lâcher oui?

*avant que je ne fasses fondre ta combinaison de merde.*

Il me retint encore jusqu'à ce que les deux hommes soient partis. C'est alors que je me sentais libre de mes mouvements. Il me remit mes chaînes aux pieds et aux poignets. Certes elles sont longues, voire très longues, mais reste-il tout de même que je ne peux les faire fondre. Je ne sais même pas d'ailleurs de quel genre de métal il s'agit. Un garde arriva avec un sceau d'eau glacé puis me le jeta dessus.

-Tiens ça l'allumette, c'est pour calmer tes ardeurs.

Ah ce con... Maintenant, je suis congelé. Mes lèvres sont devenues bleues d'un coup sec. Il ne refermèrent pas tout de suite la cellule, compte tenu du fait que Leiko était en face avec le type bizzare. Mes dents claque et ma peau a blanchie. Il faut que je me réchauffes...

-Clac. clac, clac, clac... MAUDIT... clac, clac, clac... PUTAIN DE CON!!!......

Lorsque le jeune homme dit à haute voix ce que Leiko pensait, elle en fut d'abord abasourdie. La jeune femme n'avait jamais rencontré de télépathe, elle s'y connaissait plus en don brut et qui parait physiquement lorsqu'il est déclenché. Mais elle se tût, au moins ainsi cela lui donnait une bonne idée de ses dons de mentaliste.
Des hommes arrivèrent, un semblait effrayé par le nouveau mutant alors qu'un autre se croyait évidemment supérieur. C'était une mentalité qu'elle ne comprenait pas. Si tous les enchaînés se révoltait, ce serait la guerre. Un seul mutant versus un humain, même armé, elle ne doutait pas du vainqueur.
Un des hommes lui enleva son bandeau, Leiko n'eut que le temps de remarqué de grosses cernes violettes autour de ses yeux, mais comme un humain avait dit de ne pas le regarder dans les yeux, Leiko détourna la regard. Elle ne savait à quoi s'attendre après tout, mais elle le sût immédiatement. Un homme hurlait d'effroi en racontant n'importe quoi, ce qui amena Leiko et son regard émeraude sur lui. Elle eut envie de faire un pas derrière elle mais resta à sa place, le regard figé sur cette scène inédite.

-Mi... Michael... Pas Zombie.

Leiko était estomaquée et ne savait que répondre. Bon, au moins, elle connaissait son prénom.
Elle se disait qu'elle ferait mieux de tenter de ne pas trop réfléchir au risque qu'il entende tout.

Entendant des bruits, Leiko se retourna et vue Skott arrivé. Ils le retinrent en place le temps que la crise d'un des gardiens se calme. Puis, un beau gros pichet d'eau lui tomba dessus. Gratuitement, comme ça! Il n'avait même pas fait apparaître une flamme de rien du tout! Leiko fronça ses sourcils de colère.
Voyant ses iris vert devenir jaune puis rouge, les gardiens eurent un mouvement de recul mais se dépêchèrent de l'enfermer avec Skott, attachée solidement au sol à partir du ventre, des bras et des jambes.
Leiko hurla de douleur et de rage. Ses vêtements se déchirèrent mais personne n'eut le temps de voir sa peau blanche qu'une épaisse fourrure sombre la recouvrit en entier. Une queue lui poussa, son nez s'allongea en museau et le volume de son corps épaissit. On apercevait les muscles sous tous ce poil. La bête gémit et grogna puis hurla. Ils l'avaient attaché si serrées que ça l'étouffait, lui coupait la respiration et laissaient des marques ensanglantés sur son corps. Elle avait du mal à respirer.
La jeune fille en elle en était heureuse, ainsi elle ne blesserait pas Skott, mais malheureusement, ladite jeune fille était inconsciente, il n'y avait que la bête qui prenait le contrôle et celle-ci se débattait jusqu'à ce calmer complètement alors que le sang coulait et que sa respiration devenait sifflante. Ils l'avaient attaché pour la grosseur de Leiko, mais la monstruosité en elle faisait bien le double sinon le triple!

Michael sentit le changement s'effectuer en elle sans vraiment pouvoir dire quelle était ce changement mais il savait que dorénavant ce qui était devant elle mesurait beaucoup plus et n'avait plus les même envie que la jeune fille et puis il hésita un instant a regarder la jeune fille avant de se rendre comte qu'elle était maintenant une bête et puis il la regarda dans les yeux...Malgré la crainte des images qu'il allait inspiré en elle et puis il pensa a tout ce sang,rependu dans toute la cellule,des images imaginaire non pas des souvenirs ou des flèches de l'avenir juste des vision d'horreur.En un instant il la plongea dans un endroit totalement tirer de l'imaginaire de Michael mais pas tant que ça en faite...

Il amena la bête dans un endroit qui ressemblait a une forêt mais dont tout les arbres était mort et pourtant on pouvait voir des feuilles tombé en permanence sans qu'on puisse savoir d’où elles provenaient , sur le sol l'eau se voyait remplacé par du sang et les feuilles recouvrait des cadavres...Bien sure la cellule de leiko était assez grande alors elle était libre de mouvement et d'explorer cette environnement imaginaire, bientot les cadavres se relevèrent en position assise...

J'ai vu ma Leiko, ma coloc, enchaînée comme la bête qu'elle est devenue. Sa taille si fine a doublée de volume. La peau si blanche et lisse qu'elle avait devint un tapis de poils gris. Son nez si délicat et ses lèvres rafraichissantes se transformaient en un gros museau humide et laid. De ma voix tremblante, froide et fragile j'essayait de pousser des paroles en espérant bien qu'elle me comprenne.

-Leiko.... calmes t.... calmes toi... Leiko...

Une alarme retentit. Des gardiens, des armes électriques, une cage qui ouvre et une jolie jeune femme, transformée par ma faute qui se fait martyrisée. Malgré la température de mon corps, une rage commençait en grandir en moi. Avec l'intensité de la colère, ma température corporelle commençait à reprendre. De plus en plus la température de la cellule, qui au fait été refermée derrière les gardes, grimpait tranquillement. La sueur commençait à perler tranquillement sur le front des gardes, ceci créant une espèce de buée dans la vitre de leur casque anti-émeute.

-Leiko... ARRÊTEZ BANDES DE CONS VOUS LUI FAITES MAL!!!

Un garde se rapprocha de moi pour me foutre l'une de ses raclées. Mon nez saignait, ma lèvre inférieure avait fendue et je crachais le sang par effet de vaporisateur. Le garde qui m'a cogné retourne ensuite vers ses collègues pour voir à ce que rien de grave n'arrive. À moitié amoché, je regardais la scène sans pouvoir emettre un son. J'étais traité comme un animal...

La bête, n'ayant pas une intelligence humaine suivait ses instincts et ses pulsions. Elle resta interdite quand elle remarqua que le décor était devenu plus macabre et moins familier. Ce qui n'était pas pour lui déplaire. Elle reniflait en tous sens, regardant les feuilles tombées dans son esprit. Puis, le sang, tant de sang qui excita ses sens. Elle avait envie de le boire, encore et encore jusqu'à en être rassasié. Lorsque des mots-vivants se montrèrent, elle montra les babines avec une joie sournoise. Les écraser lui semblait tellement simple mais ils ne semblaient pas fournir un très riche repas...

-Leiko.... calmes t.... calmes toi... Leiko...

Leiko n'était plus dans cette pièce, ou plutôt si, mais inconsciente, dans un brouillard d'où les sons et les images ne pouvait traverser. La bête ne se sentit donc pas interpellée.
L'alarme par contre blessa les oreilles a l'ouïe fine de la bête qui n'en grogna que plus fort en les rabaissant sur son crâne.
Elle commença aussi à avoir chaud à travers son épaisse fourrure dont même le vent n'atteignait pas sa peau épaisse.

-Leiko... ARRÊTEZ BANDES DE CONS VOUS LUI FAITES MAL!!!

Le cri mais surtout son intonation fit tourner la tête de la bête qui posa son regard sur ce tout petit homme. L'alarme l'ayant en partie remise dans la réalité même si elle continuait de voir en arrière-plan la forêt grise et le sang si appétissant.
L'homme se fit frapper et la bête en ricana - ou du moins poussa un son guttural qui ressemblait à un ricanement. La monstruosité tendit le cou le plus qu'elle put en approchant sa longue langue dégoulinant de salive pour tenter de lécher cet humain saignant...

Affaibli, la température ambiance descenda à la normale. Je n'avais plus de force pour faire quoi que se soit. Je remarques cependant que la bête qui avait pris la place de Leiko se léchait presque les babines, juste à voir le sang qui coulait de ma figure. Essayant de reprendre des forces le plus vite possible, je regardai dans les yeux de cette immonde créature, histoire de voir une étincelle, celle de Leiko. Je voulais qu'elle revienne à elle. Ce n'était pas plus compliqué que cela. Après j'allais me charger du reste. Du moins si j'en rertouves un peu de force d'ici ce temps là.

*Allez Leiko, ne m'abandonne pas surtout.*

Mon regard était affaibli. Le sang continuait de déversé peut à peut sur ce planché taché par ce dernier. J'étais pendu par les poignets, les bracelets des chaînes qui créaient des blessures. Je ne pouvais plus résisiter longtemps. Mes yeux se fermairent seuls. Je me suis évanoui par la faiblesse. Je ne sentais plus rien. J'ai ouvert les yeux, environ une demie-heure après, seulement quelques secondes, il n'y avait plus de gardiens. Seulement la bête qui bavait encore de me voir ainsi. Puis je me réendormi pour me réveiller au bout de quelques heures, détaché et couché sur mon lit.

*Que c'est-il passé?*